La compagnie Shell, qui est présente au Niger, a été à l’origine de plaintes sur lesquelles planche en ce moment la cour suprême yankee.
Les proches de 12 personnes exécutées par le gouvernement de Lagos ont accusé Shell de complicité dans la torture de ces opposants. Il s’agit d’un cas complexe et, présentement, les juges se sont retirés pour en délibérer. Ils doivent décider s’il faut tenir les grandes entreprises responsables d’atteintes aux droits de l’homme commises à l’étranger.
Bien qu’ils doivent rendre leur décision en juin prochain, je la connais déjà et je puis affirmer dès maintenant que leur réponse sera certainement négative.
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