Peu de gens le savent, mais mon chroniqueur préféré est relativement nouveau dans le métier. Il a autrefois occupé des fonctions politiques mais, depuis qu’il a pris sa retraite, il s’est recyclé dans les textes d’opinion. Sa plume reste parfois un peu empesée – peut-être est-ce dû à la traduction, qui sait? –, mais son propos ne manque jamais de souffle.
À ce chapitre, il en jette quand même plus que, par exemple, Richard Martineau qui reste tout de même étriqué, tout «grossiste en opinions» fût-il.
Les réflexions de Fidel Castro se trouvent sur le site de Granma International.
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