Pendant ce temps, les représentants du G8 débattent de la pertinence d’imposer une interdiction aérienne au-dessus du territoire libyen. Or, nombre de gouvernements ne sont pas d’accord – l’Allemagne en tête – et, vraisemblablement, la répression dans ce pays aura tout le temps de s’abattre avant que la moindre initiative occidentale prenne effet.
Quand on sait que l’atout principal de M. Kadhafi est justement sa force de frappe aérienne – un avantage bien connu des puissances européennes et américaines, quel que soit le continent –, il devient évident que, dans les chancelleries occidentales, on ne tient pas tant que ça à se débarrasser de ce cher Mou.
Il faut dire que, depuis nombre d’années, il était devenu le grand ami de nos dignes représentants démocratiques.
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