John James Charest, notre bon et parfaitement intègre premier ministre, n’a pas digéré les affirmations que le cheuf de l’Action démocratique du Québec, M. Gérard Deltell, aurait faites cette fin de semaine. À tel point qu’il a présenté à l’intéressé une mise en demeure afin qu’il présente des excuses publiques.
On sait que M. Deltell avait traité M. Charest de « parrain » de la famille libérale. Il affirmé depuis que ses propos ne cherchaient pas à sous-entendre que le premier ministre était un prévaricateur, un concussionnaire, un traître, un croche ou un bandit, toutes des choses que nous savons être fausses. Mais seulement que ses actions présentes et passées le laissaient ouvert à quelque soupçon de népotisme.
Le ton mesuré de la réponse de M. Charest s’explique par le fait qu’il n’a pas été traité de girouette.
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