George W. Bush, ex-président des Stazunis par intérim, a publié cette semaine ses mémoires du temps où il était l’homme le plus puissant de la planète et aussi de la Maison-Blanche.
Ainsi, il inflige un démenti cinglant à Fidel Castro et aux politiques de ce dernier, qui s’était fait depuis toujours un champion de l’alphabétisation.
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