Les victimes de la répression féroce qui a eu lieu lors du sommet du G20 se regroupent présentement afin de faire face aux accusations qui pèsent contre elles et qui seront éventuellement abandonnées afin de donner un lustre démagogique – à défaut de démocratique – au gouvernement cAnadien.
Mais le Regroupement des arrêtéEs du G20 ne s’en tient pas qu’à cela. Il veut aider les victimes à poursuivre en justice les policiers – bonne chance!... – qui se sont livrés à des actes de brutalité indigne d’un pays qui se prétend libre.
On peut se demander ce qui se serait passé si de pareils événements avaient eu lieu à Pékin, Téhéran ou La Havane.
Plutôt que le haussement d’épaules généralisé par l’indifférence auquel on assiste actuellement, parions que Stephen Obama et Barack Harper seraient montés au créneau, la voix chevrotante d’indignation, afin de réclamer des sanctions contre des États qui respectent si peu leurs citoyens et les droits fondamentaux.
Pas de paille, pas de poutre...
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