Il a été beaucoup question d’une éventuelle grève générale dans le domaine de la construction, ces derniers jours.
Comme d’habitude, dans de tels cas, il a aussi été fait mention – surtout – des coûts inhérents à ce genre d’exercice. En fait, des pertes que cela représenterait pour le Québec.
Comment se fait-il qu’une grève soit toujours tellement délétère quant à l’enrichissement collectif, mais qu’un lock-out, par exemple dans le port de Montréal, n’entrave en rien les rouages de l’économie?
Est-il imaginable que nos dirigeants – fussent-ils politiques ou économiques – s’abaisseraient à nous mentir?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire