« Dans ce sens, plus la mondialisation s'intensifiera, plus la souveraineté des États sera nécessaire. Plus les pouvoirs des États seront nombreux à être délégués à des organismes internationaux, plus il faudra que le citoyen sache qu'il reste quelqu'un qui soit responsable de son bien être et de sa protection. Et ce quelqu'un doit être l'expression d'une culture commune, d'institutions communes - la plupart du temps d'une même langue - et en tout cas d'un vouloir vivre ensemble. »
Extrait de :
Jacques Parizeau, La souvraineté du Québec : Hier, aujourd'hui et demain, Éditons Michel Brûlé, 2009
Pages 84 et 85
vendredi 18 décembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Justement, le discours qui insiste sur la mondialisation comme contrainte du pouvoir des Etats finit par encourager le désengagement des Etats. La mondialisation comme contrainte est un moment de vérité dans une histoire de mensonge.
Enregistrer un commentaire