Tandis que le premier ministre Silvio Berlusconi se remet lentement de ses blessures, il semble que les répliques de la cathédrale de Milan s'envolent à un rythme fou. On se souviendra que Massimo Tartaglia lui avait, entre autres, fracturé le nez en lui lançant un bibelot représentant ce monument.
Maurizio Massa, un commerçant, a depuis vendu cinq fois plus de ces reproductions en albâtre ou en métal, principalement à des Italiens de gauche. M. Massa a déploré cet engouement soudain qu'il a qualifié de stupide.
Compte tenu du principal intéressé dans l'affaire, à quel autre engouement s'attendre?
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