samedi 22 août 2009

Shorpy et Shorpette

Le pote Pérou nous parlait, ci-dessous dans «Le blogue qui remontait le temps», du petit Shorpy, huileur de wagons de mine de son métier.

Eh bien voici celle qui aurait pu être sa future épouse.

Que voulez-vous, le travail, c’est la santé. Peut-être pas mentale…

La plupart d’entre nous avons échappé à ce sort inique, qui demeure – avouons-le – l’une de nos plus célèbres exportations.

1 commentaire:

Léon a dit…

Il me semble que le vacarme du tissage occupe toute la photo.