Ainsi, le Québec a été accusé de tous les maux – avec tous les mots –, depuis celui d'«égoïste» jusqu'à celui d'«inconscient», et ce, même par les défenseurs les plus tonitruants de l'environnement.
Justin Trudeau, par la grâce de dieu et l'incompétence des électeurs, premier ministre du CAnada, y est même allé de déclarations se voulant à la fois lénifiantes et plutôt favorable au projet.
Philippe Couillard (le nom est marrant), par la grâce de dieu et l'amnésie des électeurs, premier ministre du Québec, a affirmé que sa province jouissait de sa pleine indépendance décisionnelle. De surcroît, il a souligné que son gouvernement allait évaluer soigneusement le projet Énergie-Est.
Il n'en sera que plus crédible, dans quelques mois, lorsqu'il lui donnera son approbation pleine et entière en cédant encore une fois sur toute la ligne face au CAnada.
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