jeudi 26 mars 2015

Wes Pam beach


L'enthousiasme est à son comble à Tawa, tandis que se déroulent les audiences parlementaires concernant le projet de loi liberticide C-51.

Ainsi, la militante autochtone Pamela Palmater y a expliqué que cette loi, en l'état, allait potentiellement criminaliser tous ceux qui auraient des revendications territoriales; ou à tout le moins en faire des terroristes qu'il s'agirait alors de placer sous surveillance étroite.

Fort heureusement, l'illustre professeur de l'Université de Tawa, Wesley Wark, est venu mettre les pendules à l'heure. Il a expliqué que cette vision pessimiste, pour ne pas dire un peu paranoïaque, de C-51 était erronée. Selon lui, Madame Palmater «lisait mal» le projet de loi.

La foi de Monsieur Wark force l'admiration, ici. Dans sa critique du point de vue des militants, il semble avoir une confiance aveugle dans les capacités de lecture des organisations d'espionnage cAnadiennes, lesquelles sauront interpréter correctement les tenants et aboutissants de la nouvelle loi. Et, surtout, pour une fois, agir en conséquence.

Ne sont-ce pas des flics comme eux qui croyaient que les livres sur le cubisme, en octobre 1970, référaient à Cuba dont les plages sont magnifiques?


Dans l'ordre habituel, on reconnaît ici Lou Skannen
en compagnie de son pote Wesley Wark,
dont les travaux semblent surtout porter,
en ce moment, sur la recherche d'un bon tailleur.

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