vendredi 26 septembre 2014

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C’est un truisme: la socialisation en réseau est en train de déplacer, retracer même, les contours des médias et le rapport des humains à la nouvelle et à l’information. Mais la mutation en cours est-elle vraiment profitable au journalisme et la circulation des idées? Pas toujours, si l’on se fie à cette analyse du Pew Research Center aux États-Unis qui constate que les transformations du paysage médiatique, induites par les réseaux sociaux, servent surtout les intérêts de la superficialité et d’une information versée dans le divertissement. Sale temps pour la profondeur, quoi.

Mutations, journalisme, superficialité et culte du divertissement
Fabien Deglise, Le Devoir, 25 septembre 2014

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