«Au final, le Plan Nord, dans son montage actuel, nous apparaît donc exagérément favorable à l’entreprise privée en faisant porter la plus grande part des risques aux contribuables québécois en échange de faibles retours sur leur investissement collectif. En effet, entre ce que le gouvernement investira sur 25 ans et ce qu’il obtiendra en redevances, le déficit du Plan Nord s’élève à 8,45 G$ pour les contribuables québécois.»
À qui profite le Plan Nord?
Bertrand Schepper, chercheur avec la collaboration de Laura Handal, chercheure, Institut de recherche et d’informations socio-économiques
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