Il s’appelait Bob la Job. Malingre, chétif, petit, timoré et fourbe, il aurait pu promettre n’importe quoi pour se maintenir au pouvoir et afin de faire le sale boulot du CAnada. De là, d’ailleurs, venait son surnom, car il s’était amusé à promettre mer et monde – dont 100 000 emplois – lorsqu’il a voulu se faire élire la première fois.
Avec ses lourdes lunettes dont il se servait comme d’un masque, Bob la Job a sans vergogne menti, triché, volé et trompé pendant des années parce qu’il fallait éviter à tout prix que le Québec se sépare du CAnada, lequel passait son temps, comme aujourd’hui, à se discréditer aux yeux de la population d’ici.
Voilà qu’un scribe de passage a décidé, pour vendre de la copie, de nous échafauder une biographie rocambolesque au sujet de Bob la Job. Il y raconte qu’il avait du charme, de la vision et même une volonté de fer dans l’adversité; et qu’il était même capable de se tenir debout devant le CAnada.
Bref, n’importe quoi et son contraire, au détriment de la plus élémentaire vérité historique.
Ci-contre, la statue de Bob la Job, selon la vision du demi-sel d’écrivaillon qui devrait se confiner aux biographies de nounounes et de joueurs compulsifs.
1 commentaire:
Il est passé de biographies de nounounes à celles de moumounes.
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