À la prochaine fois...

J’aurais vote oui mais j’étais trop petit, Collectif, 2011, Editas.

• • •

Parce qu’il y aura une prochaine fois. Parce qu’il est maintenant évident que le Parti québécois n’aura d’autre choix que de redevenir le parti de l’indépendance. Oubliez le «bon gouvernement». Oubliez les «gestes de souveraineté». Ce sera l’indépendance ou rien.

Ce livre nous rappelle que l’idée de la souveraineté n’est pas morte. Et que ce n’est pas vrai que les jeunes ne veulent plus entendre parler de l’indépendance. Ce n’est pas parce que La Presse ou The Gazette le répètent chaque fois qu’ils en ont l’occasion que c’est vrai. Grmbl!

En fait, les jeunes indépendantistes pensent comme tous les autres indépendantistes. Ils ne veulent plus en entendre parler si c’est juste pour en parler ou pour maintenir une image de marque. Mais le jour où on parlera vraiment de réaliser l’indépendance, tout le monde écoutera. Et par le monde, je veux dire The World.

Bonne Fête nationale! Vive le Québec libre!