Le Plan Nord est à nos portes.
Le scénario est bien connu et la formule est usée à la corde. Le gouvernement libéral annonce en grande pompe la mise en valeur d’une région en fournissant les infrastructures routières et autres afin d’attirer les compagnies, minières principalement.
Et une fois que, repues, elles auront saigné le sous-sol à blanc et pollué la surface, il nous restera à payer la facture du nettoyage.
Mais comme l’a si bien expliqué notre dévoué premier ministre John James Charest: «Il n’y a pas d’inquiétude à y avoir: c’est pas mon argent!»
Il ne perd pas le nord…
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