D’une, je ne crois pas que l’idée d’imposer un moratoire puisse constituer une solution en soi, mais permet justement d’en trouver une de manière plus sereine que celle – actuelle – consistant à placer la population devant le fait accompli.
De deux, et sans vouloir blesser le principal intéressé, je dirais que si par le passé d’ex-chefs du Parti québécois ont pu causer quelque embarras à cause de certaines déclarations intempestives, je crois que, aux yeux de Mme Marois, M. Boisclair peut déclarer tout son soûl sans que cela cause grand dommage.
De trois, M. Boisclair est maintenant consultant pour la firme de génie-conseil Dessau et porte-parole d’Expo Énergie, un événement qui se tiendra à la mi-septembre à Montréal.
Je ne sais si on peut appeler ça du copinage, mais admettons que c’est une bien belle carrière pour quelqu’un qui n’a pas complété son baccalauréat.
2 commentaires:
Au moins, avec Boisclair, c’est clair.
Dès qu’il abonde dans un sens, on sait que la solution se trouve dans le sens opposé.
Il est comme une boussole à l’envers et c’est bien pratique.
On s’est dit que si ça parle de lui, il va le lire, c’est sûr.
Donc, message à André : téléphone-nous, il faut qu’on se parle...
Si tu n’as pas le numéro, demande à Lucien.
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