Ce qu’on apprend en lisant le rapport du vérificateur général du Québec vient confirmer qu’on ne pouvait pas faire confiance à l’Agence des PPP pour obtenir l’heure juste. L’Agence elle-même admet ses torts depuis qu’elle a changé de président. À cause de son obsession pour le privé, le gouvernement Charest a retardé de plusieurs années l’ouverture des CHU, prévue pour 2010, ce qui a fait exploser les coûts. Sans reprise des études d’évaluation, ce dossier pourrait concourir pour le titre de pire scandale de notre époque.
Centres hospitaliers - Les dés étaient pipés
Jean-Robert Sansfaçon, Le Devoir, 20 novembre 2009
1 commentaire:
Pire scandale? C'est des pinottes! On est capables de faire mieux!...
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