jeudi 2 février 2012

Bâillon faible


Personne ne peut manquer de compatir à la douloureuse épreuve qu’a subie le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu dans le passé. Et il s’est empressé de retirer ses paroles et d’exprimer des regrets pour sa dernière sortie publique.

N’empêche, il y a quand même une saprée môzusse de limite!

Dans le sillage de cette incartade, il y a peut-être certains accessoires qu’on devrait mettre à la disposition des membres du sénat.

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