La Commission de la construction du Québec (CCQ), présidée par Mme Diane Lemieux, ex-péquisse qui maintenant fait des « jobs de bras » pour les libéraux, devait mettre au pas les syndicats qui n’avaient rien à voir avec la corruption endémique au sein de l’industrie.
Or voici qu’on apprend que la CCQ connaît en ce moment un conflit de travail. Oh! rien de bien grave! Ses employés n’ont plus de convention collective depuis à peine 2 ans… Finalement, afin d’assainir le climat au sein de l’organisation et de mettre définitivement sur ses rails la réforme de l’industrie, Mme Lemieux commence à brandir la menace d’un lock-out.
C’est curieux de la part des libéraux et de leurs inféodés que, lorsque vient le temps de s’attaquer à un problème, ils trouvent toujours le moyen de l’envenimer. C’est vrai que, si on ne s’attaque pas aux causes, on ne peut guère espérer voir les choses prendre… le mieux.
1 commentaire:
Vous avez oublié qu'elle a déjà coupé le syndicat en deux et que ce qu'elle ne veux pas négocier et bien elle le fait voté dans un projet de loi. Rien de très positif à vouloir négocier avec quelqu'un de mauvaise foi...
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