Et c’est reparti, mon Kiki!
À nouveau la question du TGV* dans le «corridor Montréal-Toronto». Pas d’argent pour entretenir le réseau routier? Pas d’argent pour offrir un service ferroviaire aussi convenable que conventionnel? Pas d’argent même pour de banals trains de banlieue?
Pas de problème non plus, apparemment.
On va en trouver pour un TGV, de manière à permettre aux ti-namis du régime de se graisser la patte encore une fois. À nos dépens, bien entendu.
Une étude de faisabilité a affirmé qu’un tel projet serait rentable. Faut-il préciser que l’étude avait été commandée par Québec et que j’ai rarement vu une étude du genre revenir avec des conclusions totalement défavorables?
Il n’en fallait pas plus pour la grande parade des petits premiers ministres du Québec et de l’Ontario, respectivement John James et Dalton, qui sont venus répéter leur foi en un tel projet.
Même le site Cyberpresse en remet en demandant à ses lecteurs s’ils prendraient un tel train grande vitesse.
Moi, je le prendrais, mais je descendrais à Hull.
* N.B. : TGV est l’abréviation de « train grande vitesse » et non de « Toronto Greater Vehicle ».
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