Pierre-Karl Péladeau est intervenu par le biais d'une lettre ouverte au sommet de Lévis en critiquant sévèrement les syndicats, leur reprochant de nuire au développement économique.
Notons que c'est de famille de mépriser tous ceux qui leur tiennent tête. Par ailleurs, M. Péladeau semble oublier un fait économique incontournable. En effet, en Occident, les pays les plus compétitifs sont ceux qui connaissent des taux de syndicalisation élevés.
Mauvaise foi ou ignorance de sa part? Toujours est-il que M. Péladeau, quand il a jugé bon de livrer cet important message à la nation, ne s'est même pas donné la peine de se déplacer.
vendredi 22 janvier 2010
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