« Aucun d'entre-nous n'aurait supprimé ou essayé de cacher des problèmes qui venaient du terrain ».
TORTURE : HILLIER ET GAUTHIER NIENT TOUT EN BLOC
Guillaume Bourgault - Côté, Le Devoir, jeudi 26 novembre 2009
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Je l'avoue, mes lectures sont sujettes à caution. Elles me permettent un recul nécessaire à la compréhension peu banale des reprises de l'histoire. Nous sommes dans le champ du subtil et de l'arbitraire. Il y a matière à la lecture, il y a matière à la réflexion, il y a matière à la discussion.
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N'entrez jamais dans cet édifice qui abritait initialement le siège d'une Compagnie d'assurances et qui est devenue les bureaux du maintien de la vérité:
Sinon, vous serez de ceux qui protègent la raison d'État et sa sécurité ou de ceux qui n'en ressortiront que pour être oubliés.
Ce qui me conduit à vous poser la question suivante : comment appelle-t-on ceux qui opèrent dans le secret pour maintenir la sécurité nationale contre la menace interne à l'État. Ceux qui sont accusés d'être utilisés pour maintenir le pouvoir politique en place au lieu de protéger l'état de droit?
Et bien oui, la police politique.
Ici, nous sommes dans les périodes les plus fastes de la culture du secret. L'état fonctionne entièrement ou partiellement dans le secret.
Cette culture du secret vise à cacher la plupart de leurs opérations au public.
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Pour votre plaisir et en partage, je vous réfère ces deux ouvrages:
Interview de Boris Jitkov
Interview de Tom Rob Smith.
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