Image: Casterman, via Métro Montréal
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L’œuvre est connue: sur la page couverture, trois hommes et un petit chien en détresse sur un radeau, au milieu de nulle part. Le tout au-dessous d’un titre qui déstabilise une référence culturelle tenace: Colocs en stock. Mais que se passe-t-il?
De la parole aux actes. Après avoir soulevé la polémique l’an dernier en évoquant la chose dans [les pages du Devoir], l’éditeur belge Casterman n’a finalement pas flanché. Pour la première fois de son histoire, le célèbre reporter mis au monde en 1929 par Hergé va donc parler le français du Québec dans une adaptation de la célèbre aventure Coke en stock, rebaptisée pour l’occasion.
Tintin poursuit son aventure linguistique
Fabien Deglise, Le Devoir, 15 octobre 2009
3 commentaires:
C'est parce que "jocrisse", ça ne veut rien dire au Québec. Évidemment, ça sonne un peu familier...
Tintin en joual québécois...c'est totalement RIDICULE et absurde !
Point final !
Ça peut être amusant, de même.
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