En effet, la commission d'enquête qui a étudié les prétendues irrégularités a dû annuler "un certain pourcentage" des bulletins, de sorte que l'appui au président sortant Hamid Karzaï est tombé sous la barre de 50 %, rendant nécessaire ce second tour.
Par ailleurs, les gouvernements nord-américains et européens concernés ont déploré la lenteur du dépouillement du scrutin du 20 août dernier et demandé que les résultats soient connus plus rapidement à l'avenir.
M. Karzaï, toujours soucieux d'accommoder ses alliés occidentaux, leur a fait dépêcher, hier par courriel, les résultats du vote devant se tenir le 7 novembre prochain.

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