vendredi 24 juin 2016

Bonne fête nationale!

Maintenant que la langue française recule, surtout à Montréal, dans l'indifférence quasi générale; que la question de l'indépendance du Québec intéresse de moins en moins de monde; que les leviers du pouvoir sont laissés entre les mains d'affairistes corrompus pratiquement à chaque élection, et ce, avec l'aval de la population; que le CAnada décide pratiquement tout à la place du Québec; qu'une part croissante des Québécois se considèrent avant tout cAnadiens; que les questions des relations avec les minorités ont pris le pas sur la question de la relation avec la majorité, quelle signification reste-t-il de cette fête nationale qui n'a, en outre, plus rien de religieux?

Prenons tout de même un petit cinq minutes en ce 24 juin afin de tenter de répondre à cette question.



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