En fait, si le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu se trouve au milieu de la tourmente médiatique, ce n’est pas tant parce qu’il est conservateur.
Par contre, s’il ne montait pas aux barricades à la place du ministre responsable du dossier qui, lui, est un conservateur unilingue anglophone, peut-être que le brave sénateur aurait moins l’air d’un autre mercenaire à rabais.
Par ailleurs, il a beau penser que le Québec est «mou sur la question de la criminalité» («soft on crime», a-t-il dit dans cette langue qui est autant la sienne), au moins la Belle Province n’est pas «dure de comprenure», elle.
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