Pendant la Deuxième Guerre mondiale, des médecins renégats se sont livrés à des expériences sur des détenus dans les camps de concentration. En conséquence, au moment des procès de Nuremberg, les responsables de tels actes furent condamnés et, dans le sillage de ce jugement, un code fut élaboré afin d’encadrer les expérimentations médicales pratiquées sur des sujets humains.
Ce protocole, appelé code de Nuremberg, stipule, dans son premier article: «Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.»
Pour l’heure, le processus de vaccination est nettement placé sous le signe de la contrainte et de la coercition comme, par exemple, le chantage qui est opéré aux dépens des personnes qui refuseraient l’un ou l’autre vaccin et qui se trouveraient ainsi de facto au ban de la société. Ou encore toutes ces affirmations de soi-disant experts qui garantissent, hors de toute connaissance valable, que les vaccins, quels qu’ils soient, sont bénins et totalement efficaces; sauf dans certains CHSLD et contre les quantités de variants déjà en circulation.
Et ce, sans compter tous les messages contradictoires dont on nous a gavés depuis le début de l’épidémie, ce qui ressemblait davantage à un exercice de duperie qu’à une véritable information digne de foi.
Bref, est-ce que vous vous sentez éclairé dans le contexte de cet immense essai clinique de vaccination?
Moi, si.
Comme lors d’un interrogatoire de police.
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