Elle n’était pas la seule dans son cas, en effet douze autres femmes étaient ainsi vêtues dans le restaurant de Khartoum où elles ont été arrêtées. Il semble même que dix de celles-ci ont déjà été condamnées et ont subi leur sentence.
Il va sans dire que les journalistes occidentaux sont outragés par cette affaire et font actuellement campagne à l’échelle mondiale pour faire pression sur le gouvernement soudanais afin de commuer la sentence et de modifier les lois concernant l’habillement dans ce pays.
Le tollé, semble-t-il mobilise présentement l’opinion publique européenne, ce qui pourrait, à la limite, conduire à une crise internationale d’envergure.
Pendant ce temps, au Darfour…
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