Ce cher, bon, gros, vieux Donul Trompe a déclaré récemment qu'il ne changerait jamais de politique. Sans doute faisait-il allusion à sa décision d'imposer des tarifs douaniers à la majorité des pays.
Or, si on considère les aléas qui ont marqué son premier mandat, le fait pour lui de ne pas changer de politique est, en soi, un changement de politique. Comme contradiction, on ne fait pas mieux. Alors que faut-il croire?
Certainement pas lui.
P.S. N'allez pas penser que je suis opposé à la notion de protectionnisme. D'une part, cette politique est la marque des économies faibles ou faiblissantes. Dans le cas des Stazunis, il n'y a qu'à s'en féliciter. D'autre part, le protectionnisme marque la fin du libre-échange qui est le socle sur lequel s'est bâtie la mondialisation, avec son cortège de délocalisations, d'appauvrissement des travailleurs et de désintégration des services publics au bénéfice des intérêts privés. Alors…
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