De nouveaux visages risquent d’être ajoutés à l’axe du mal, même si, depuis le départ de George Walker Bush, on ne l’appelle plus ainsi: les pirates somaliens.
Selon Michael Winship, un journaliste de PBS dont l’article a été publié par Al-Jazeera, les risques d’arraisonnement par ces flibustiers sont de moins de 1 % par voyage.
Mais, depuis que des navires yankees ont été capturés, la menace est devenue, semble-t-il, omniprésente. Les risques paraissent avoir grimpé jusqu’à 300 millions %. C’est vrai que, quand ça arrive aux Stazunis, c’est toujours beaucoup plus grave.
À croire nos charmants voisins du sud, on va bientôt trouver des pirates dans notre salle de bain.
Une autre raté des tarés.
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