samedi 31 mars 2012

Et hop le robot

La Puce, le robot-sauteur de la Boston Dynamics.

Portraits






David Lynch, Christina Ricci et Christopher Lee par Nadav Kander.

Pause Pub

Les Bidules

Trudeau-Brazeau

Ce soir, le fougueux Justin Trudeau montera dans le ring afin d’affronter le redoutable Patrick Brazeau dans un combat devant symboliser l’ardeur des affrontements entre, respectivement, libéraux et conservateurs. Le tout dans le cadre d’un événement devant récolter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Bref, encore une mise en scène pour nous faire croire que, entre centre-droite et droite, il existe un monde de différence et aussi pour nous pomper un peu plus de fric. Et, à l’image des débats en chambre, le combat se terminera sur une décision partagée, et surtout pas par un knock-out.

Après tout, on ne voudrait pas que soit endommagée la jolie petite gueule de Brazeau. Quant à Trudeau… Eh, mon dieu qu’il ressemble à son père!



vendredi 30 mars 2012

Les aventures de Batman

Slow sauts

Des sauts de ballet capturés à 1000 images/minute.

Cinémaboule: Brrr...La Momie!

Les p’tits dessins



Un jeu d'artiste: Reprendre un vieux dessin. Comme résultat, un dessin au coeur jeune sous la plume achevée de l'expérience. Ici, Michel Rabagliati, sur le blogue Refelemele.

Lou Skannen, prix Nobel de physique!

«Le prix Nobel de physique est une récompense gérée par la Fondation Nobel, selon les dernières volontés du testament du chimiste Alfred Nobel. Il récompense des figures scientifiques éminentes s'étant brillamment illustrées en physique et ayant rendu de grands services à l'humanité grâce une œuvre censée être un apport remarquable en savoirs nouveaux et inédits dans la discipline.»Wikipédia

Si un va-t-en-guerre mérite le prix Nobel de la paix, alors pourquoi n’aurais-je pas droit à celui de la physique pour ma révolutionnaire théorie sur la gravitation planétaire?

C’est juste juste…

jeudi 29 mars 2012

Les Bidules


Le cassetophone des Beatles. Et ça marche!

Déclic






Images de Bangkok, sur Nevolution.

Figurines figuratives






Les sculptures de Yoskay Yamamoto, artiste de Los Angeles.

Les aventures de Batman

mercredi 28 mars 2012

En kiosque

Viral

Performance très remarquée de la québécoise Jessica Paré dans le premier épisode de la nouvelle saison de la série culte Mad Men. D’abord, un “câlisse” bien senti et, ci-bas, un tour de chant yéyé qui fait exploser l’internet.


Si ça vous chante, vous pouvez regarder l’épisode complet (in english), sur AMCTV.

Par ailleurs, le Daily Mail de Londres trace l’histoire de Zou Bisou Bisou, “la chanson la plus sexy du monde”. Qui se souvient de Gillian Hills?

Déclic






Trente-cinq ans après sa mort, la photographe Virna Haffer est redécouverte.

Vinyle

Montréal vue du sol – Solution

Semblable automatique

Dans la cacophonie actuelle, on finit par perdre son latin devant les étiquettes de gauche et de droite qui sont apposées à la légère. Dans l’esprit de plusieurs, être à gauche est progressiste, tandis qu’être à droite est ordonné.

On est à droite si on favorise une approche autoritaire, qu’on ne ménage pas les criminels et qu’on appuie la réduction de l’État – avec l’allégement de la fiscalité à la clé.

On est à gauche si on fait preuve de tolérance et d’ouverture, qu’on favorise l’inclusion de tous et qu’on protège l’État-providence – malgré les charges que cela peut représenter.

Images d’Épinal qui se trouvent rapidement prisonnières de leurs contradictions. Comment peut-on être de gauche et demeurer totalement ouvert à la liberté religieuse dont l’un des principes est justement l’autoritarisme, la rigueur et l’exclusion? Comment peut-on être de droite et favoriser les peines maximales pour les criminels sans être obligé de construire des prisons et d’accroître ainsi la taille de l’État et le fardeau fiscal?

Les concepts se sont progressivement vidés de leur sens à mesure que les représentants des deux tendances ont pris position dans les complexes et nombreux dossiers qui marquent nos sociétés. Il a bien fallu que, de part et d’autre, on enfourche ses chevaux de bataille, quitte à ce que le fichu canasson entraîne les duellistes dans une zone grise où ils se sont irrémédiablement embourbés.

Gauche et droite, pourtant, sont à la base des concepts très simples et totalement dénués d’ambiguïté. Il s’agit de deux manières de concevoir la société. Ou bien les humains doivent s’adonner au chacun pour soi où les personnes doivent s’approprier de la plus grande part de la richesse collective à titre individuel. Ou bien les sociétés humaines sont des communautés où cette richesse collective est la propriété de l’ensemble et doit en conséquence être répartie équitablement.

En d’autres termes, l’humain, là, à côté de vous, c’est un semblable ou c’est un guichet automatique? Et si c’est un guichet automatique, dites-vous que, à force de ne rien y déposer, vous finirez immanquablement ruiné.


mardi 27 mars 2012

Les Bidules

Les p’tits dessins


Mies

Google nous rappelle aujourd'hui que c'est le 126e de l'architecte Mies van der Rohe.

En kiosque


Montréal vue du sol – Indice

Voit-on mieux avec un peu de recul?

L’ennemi

Un dicton allemand note que «le mieux, après un bon ami, c’est un bon ennemi». Nous autres Occidentaux en savons quelque chose, nous qui nous sommes ingéniés depuis des siècles à nous fabriquer des ennemis aussi nombreux qu’insaisissables, omnipotents, protéiformes et omniprésents.

Il s’agit toujours d’envahisseurs, bien sûr, qui n’ont de cesse de vouloir détruire notre façon de vivre, la plupart du temps par jalousie et mesquinerie; parfois, il s’agit de motifs plus élevés quoique immanquablement erronés. Ainsi, au moment de la formation de l’Occident, qui n’était alors qu’une portion congrue de la chrétienté, et avant même que la notion d’Europe s’installe, l’ennemi était le Sarrazin ou le Maure. Son digne successeur fut le Turc. Il y eut un interrègne assez long où l’Ouest dut se contenter d’une variété assez éclectique d’hérétiques et de sorciers en tous genres et l’on peina grandement à savoir qui était le mécréant de qui.

Fort heureusement, la révolution industrielle vint à point nommé pour éclaircir le tableau. De la masse de ceux qui peinaient sous la chaîne du labeur taylorisé émergea une figure sombre et hirsute au regard fiévreux et menaçant: l’anarchiste. Ce dernier fit les choux gras de toute une propagande de bien-pensants jusqu’aux lendemains de la Première Guerre mondiale; et pour cause, puisque certains anarchistes – ou affublés comme tels – se rendirent coupables d’assassinats largement publicisés.

Mais au cours de ladite guerre, l’empire russe fut jeté bas par un autre genre d’épouvantail, tout aussi inquiétant: le communiste. Celui-là a eu la vie dure jusqu’à l’aube des années 1990. Sa disparition, cependant, a eu des effets néfastes pour les possédants. La dernière menace évaporée, comment assujettir les masses, désormais?

Fort heureusement, c’est alors qu’Al-Qaïda fit son apparition avec un sens de l’à-propos quasi miraculeux. Depuis lors, pratiquement pas une journée ne passe sans que le nom ne soit rapporté dans l’actualité et, les jours sans, dans des chroniques ou analyses présentées par des pontes grassement entretenus par ceux qui nous dépouillent.

Il y a un autre dicton qu’on oublie trop souvent, peut-être pas allemand celui-là: «l’ennemi de mon ennemi est mon ami».

lundi 26 mars 2012

Déclic


La famille de luchadores. Images du Studio 33.

Silhouettes




Les papiers découpés de Olly Moss.

Internet: Le royaume des chats

Pause Pub

Montréal vue du sol – Mystère

Qui sait ce que c’est?

La gauche rêveuse



Avec certains chroniqueurs qui reprochent aux étudiants leur pot de sangria et leur téléphone cellulaire, d’un côté, et d’autres qui accusent ceux qui les appuient d’être les insupportables go-gauches rêveurs, cela porte à réfléchir.

Enfants gâtés d’un côté; ignorants de l’autre. Les commentateurs de la droite pure et inflexible ne cessent de dégorger leur venin dans le débat qui a cristallisé les tendances politiques au Québec: la hausse des frais de scolarité.

À les entendre, la droite n’est pas folle. Elle les deux pieds sur terre. La droite ne pense pas dans l’à-peu-près. En fait, la droite ne pense pas; elle compte. Elle compte ses sous, oui; mais surtout ceux des autres qu’elle aimerait bien avoir. Cela aussi fait partie du débat. D’ordinaire, le discours de cette droite constamment outrée, qui se drape dans son idéal d’individualisme jusqu’au-boutiste et dans sa liberté absolue de dépouiller son prochain, ne mérite pas qu’on s’y attarde. Il ne mérite même pas qu’on en tienne compte.

Mais qu’il ose traiter certaines personnes d’être déconnectées de la réalité, là, j’avoue que c’est plus fort que Roquefort. Est-ce que ces laudateurs de la droiture étaient en voyage sur la planète Mars ces derniers quatre ans, quand leur libre marché et leur égoïsme individuel a plongé le monde dans la crise financière? Faisaient-ils la visite des lunes de Jupiter quand ce sont les gouvernements – l’argent public – qui a sauvé leur peau et leurs beaux marchés infaillibles de la catastrophe?

Dans de telles circonstances, pour accuser les autres d’ignorer la réalité, il faut vraiment avoir du culot tout le tour de la tête.

En tout cas, il y a de quoi me laisser rêveur.

dimanche 25 mars 2012

Gare à vous, dictateurs!



Gare à vous car ils sont instruits! Ils discutent! Ils contestent! Ils se battent pour la liberté et la paix!

Pause Pub

Tite-main




One Tiny Hand, un nouveau blogue inexplicablement drôle.

La soirée du hockey

À la conquête du monde


Lou Skannen et son ami de longue date, Marque Jaune, qui topent à la conclusion fructueuse d’une première étape de leur plan de conquête du monde.

On leur souhaite la meilleure des chances. Ça ne pourra pas être pire…