samedi 28 décembre 2019

La retraite aux flambeaux




Ton patron est une tête de pus? Tes collègues sont des trous du cul? Alors qu’est-ce qui te tient dans ce sale petit boulot de merde? La retraite, bien sûr! C’est pas parce que tu t’amuses que tu t’y accroches. Mais un jour, tu espères bien que ça finira et que tu pourras enfin te la couler douce en paix. Autrement dit: «tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir».

C’est un coup de salaud que de vouloir faire flamber le système de retraites, comme on le fait présentement en France. Évidemment, les médias de là-bas et d’ici jouent aux jeunes oies blanches effarouchées devant les débordements de colère des travailleurs qui voient leurs espoirs de retraite précoce s’éloigner à tire-d’aile. Et pourtant, les comploteurs de ce sabotage d’acquis sociaux devaient certainement s’y attendre.

Parlant d’attendre, soyez patient: ce sera votre tour, bientôt.


vendredi 27 décembre 2019

Tiens, tiens, au Tibet

L'article ici


Un article des plus intéressants concernant la sinistre réalité du Tibet. Non pas la réalité actuelle, mais celle qui prévalait avant que les «méchants» Chinois y mettent un terme au régime de terreur, de torture et de servitude que le clergé bouddhiste y a fait régner pendant des générations.

Avant la Révolution, la population tibétaine n’était rien de plus que la propriété des monastères auxquels elle fournissait leurs jouets sexuels et leur main-d’œuvre non rémunérée. Bref, un peuple entier réduit en esclavage. Et ce, avec le concours des Occidentaux qui ont présenté l’«exil» du dalaï-lama comme une fuite devant l’oppression, alors que cela n’a été que la fuite de l’oppresseur.

Dans les faits, l’«occupant» chinois aura apporté au Tibet des conditions de vie décentes, des moyens de communication adéquats, des écoles, des hôpitaux et des logements salubres.

L’horreur, quoi…






dimanche 22 décembre 2019

Les copains d’abord

L'article ici


On sait à quel point les Stazunis détestent encore viscéralement l’Union soviétique et tout ce qui est de gauche, même 30 ans après la chute du mur de Berlin.

Ce qui étonne toujours un peu, c’est que les méchants, dans l’imagerie populaire yankee, laquelle est portée en grande part par la culture populaire, cinéma et télévision en tête, sont le plus souvent les nazis.

Évidemment, personne n’ira prétendre que ces derniers sont des enfants de chœur, mais, tout de même, il y a d’autres réprouvés dans l’histoire récente. Or, justement, se pourrait-il que cette fixation masque une certaine mauvaise conscience?

Longtemps après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, on commence à découvrir des faits assez troublants concernant les rapports plus qu’ambigus entre les Stazunis et l’Allemagne nazie. Ainsi, on apprend que le grand capital – et donc les élites politiques – a appuyé la montée au pouvoir d’Adolf Hitler, depuis Henry Ford, dont le portrait ornait le bureau du précédent, en passant par Harry S. Truman, qui allait devenir président, jusqu’à Prescott Bush, le père et grand-père de deux autres présidents yankees.

On me dira qu’il était difficile de prévoir les débordements du régime. C’est sans doute vrai. Mais comment expliquer, alors, que des entreprises stazuniennes allaient continuer à alimenter la machine de guerre allemande jusqu’en 1944? Rappelons pour mémoire que, dès décembre 1941, Yankees et nazis étaient officiellement en guerre.

À quoi pouvait tenir une telle absurdité? Tout simplement à ce que, à partir de 1917, les véritables ennemis des Yankees ont toujours été, dans l’ordre, les communistes et les Russes. Alors, quoi de plus normal que d’aider les petits copains qui cherchaient à détruire l’Union soviétique?