samedi 4 avril 2020

Montréal vue du sol




Dolce vita


Florence, 2014


Parlons d’autre chose. Une image vaut mille mots, dit-on. En voici donc plusieurs glanées au fil de pérégrinations lors de temps heureux. C’est une sorte de vernissage virtuel auquel je vous convie, un cliché à la fois.

vendredi 3 avril 2020

Serrement d’hypocrites



Loin de moi l’idée de défendre Victor «F» Orban, le premier ministre de Hongrie. L’homme est un apôtre de la droite et on sent bien qu’il ne dédaignerait pas tomber dans les extrêmes. Pour cette raison, on se demande un peu pourquoi ses interlocuteurs lui battent froid. Ils ne sont guère moins fixés à droite que lui.

Dans le contexte de la lutte à la pandémie, M. Orban s’est fait voter, suivant en cela les lois de son pays, le droit de gouverner par décrets jusqu’à ce que «l’état de danger soit terminé». Or, voici que les autres pays membres de l’Union européenne se sont récriés face à cette décision, n’hésitant pas à la qualifier de «putsch constitutionnel».

Quand on remarque à quel point les gouvernements européens n’hésitent pas à saboter le filet social chez eux envers et contre toute forme de contestation, ainsi qu’à agir unilatéralement et sans appel en situation de crise, on reste interloqué.

Leurs reproches sont-ils dus à un attachement flottant à la démocratie ou est-ce simplement de l’envie?

Dolce vita


Saint-Émilion, 2013


Parlons d’autre chose. Une image vaut mille mots, dit-on. En voici donc plusieurs glanées au fil de pérégrinations lors de temps heureux. C’est une sorte de vernissage virtuel auquel je vous convie, un cliché à la fois.

jeudi 2 avril 2020

Épeire de rien



Spiderman avec une araignée dans le plafond.

Dolce vita

Pour les personnes qui ont trouvé trop abstraite la photo de Bergerac, en voici une autre prise un peu plus loin.


Bergerac, 2013

Dolce vita

Bergerac, 2013


Parlons d’autre chose. Une image vaut mille mots, dit-on. En voici donc plusieurs glanées au fil de pérégrinations lors de temps heureux. C’est une sorte de vernissage virtuel auquel je vous convie, un cliché à la fois.

mercredi 1 avril 2020

Héros des temps modernes


Dolce vita



Inishmore, 2012


Parlons d’autre chose. Une image vaut mille mots, dit-on. En voici donc plusieurs glanées au fil de pérégrinations lors de temps heureux. C’est une sorte de vernissage virtuel auquel je vous convie, un cliché à la fois.

mardi 31 mars 2020

Hippophagie



Chassez la normalité, elle revient au galop. Les experts universitaires en alimentation annoncent déjà que le Covid-19 va entraîner une augmentation substantielle du prix du panier d’épicerie.

On savait bien que, tôt ou tard, quelqu’un quelque part finirait par tirer profit de cette crise humanitaire qui aura occasionné tant de souffrance et de deuils. On avait naïvement espéré que ce genre de personnages peu scrupuleux auraient la décence d’en attendre la fin. Nous voici donc rappelés à la réalité de ce cher, bon, vieux capitalisme sauvage.

Toujours la même vieille carne.

Dolce vita




Saint-Goustan, 2011


Parlons d’autre chose. Une image vaut mille mots, dit-on. En voici donc plusieurs glanées au fil de pérégrinations lors de temps heureux. C’est une sorte de vernissage virtuel auquel je vous convie, un cliché à la fois.

lundi 30 mars 2020

Naufrage de surface



On souligne à grands traits, aujourd’hui, l’arrivée du USNS Comfort, le navire-hôpital de la Marine de guerre yankee. Ce navire a comme port d’attache Norfolk, en Virginie, 475 km au sud-ouest. Bref, à six heures de demie par la route.

Il lui aura donc fallu deux semaines avant d’arriver à pied d’œuvre dans la métropole des Stazunis, ce qui représente un tour de force, dans les circonstances. En effet, le Comfort, s’il faut en croire Wikipédia, a une vitesse moyenne de 34 km/h, ce qui veut dire qu’il pourrait traverser l’Atlantique en 7 jours.

Je dis «tour de force», car compte tenu de l’incurie sanitaire qui règne dans ce pays, il aurait très bien pu mettre plus d'un mois avant d’arriver à destination.

Dolce vita



dimanche 29 mars 2020