samedi 17 janvier 2015

DERNIÈRE HEURE



Le beau et le laid



Les médecins embellissent la réalité?

Visiblement, pas tous...

vendredi 16 janvier 2015

DERNIÈRE HEURE


Sauvés par la caisse


jeudi 15 janvier 2015

1947-2015

Francis Simard

JAM



Figurez-vous que le 11 janvier dernier, on fêtait le bicentenaire du plus grand cAnadien de l'histoire parce qu'il fut le premier, et premier ministre de surcroît, nul autre que John A. MacDonald, cette sympathique bouille que l'on retrouve sur les billets de 10 $. Ou est-ce sur ceux de 20 $? Ils en viennent à tous se ressembler avec le temps.

Si, comme moi, vous n'avez pu fêter l'événement, entre autres raisons parce que vous vous fichez des premiers ministres de pays totalement étrangers, je vous invite malgré tout à découvrir ce fascinant personnage afin de lui rendre l'hommage qui lui est dû.


La garde d'honneur entourant
les célébrations du bicentenaire
de la naissance de John A. MacDonald

mercredi 14 janvier 2015

L'État providence croupion



L'État providence, épouvantail de fin du siècle dernier en notre beau Québec sucré en or tendre... Que de choses n'ont-elles pas été dites – et jamais de manière flatteuse – à propos de ce concept archaïque, dépassé, désuet, obsolète, pour ne pas dire rétrograde. En effet, la plus élémentaire lucidité ne pouvait que s'élever en faux contre toute entrave au chacun pour soi et au «après-moi-le-délugisme». (Ce dernier terme est une pure invention de ma part et pourrait être rangé sur la même tablette que l'«auto-pelure-de-bananisme».)

Combien de fois des esprits supérieurs ont-ils expliqué, au bénéfice de nos têtes dures, que l'État providence n'était pas financièrement viable. Qu'une telle manière de gérer les deniers publics coûtait trop cher et qu'il fallait s'en remettre au secteur privé afin d'apporter à l'administration de nos affaires la réputée efficacité des gestionnaires contemporains.

Bref, secteur public et secteur privé se trouvaient respectivement à chacune des extrémités d'une balançoire à bascule. Il faut toujours qu'il y en ait un des deux qui monte, tandis que l'autre descend. De nos jours, et depuis cette glorieuse fin de siècle à laquelle je faisais allusion à l'instant, nous constatons lequel monte et lequel descend.

À preuve de l'efficacité du secteur privé: nous n'avons jamais été aussi pauvres. Évidemment, ce n'est pas l'efficacité promise, mais il n'en reste pas moins qu'il y a belle lurette que l'État n'a si peu dépensé au bénéfice de ses citoyens. Enfin, de la majorité de ses citoyens.

Car il y a une infime minorité à laquelle l'État pourvoit plus qu'abondamment. Curieusement, personne ne songe une seconde à réclamer l'abolition de cet État providence croupion.

Et pourtant, celui-là est encore moins efficace que l'autre.



mardi 13 janvier 2015

Interpol interpelle



Interpol a diffusé un avis de recherche international afin de retrouver Viktor Ianoukovitch, le dernier président ukrainien démocratiquement élu. Non, non, n'allez pas prétendre le contraire; c'est un fait. C'est ça, la démocratie…

Bref M. Ianoukovitch est recherché pour «soustraction, détournement ou conversion de biens par des manœuvres frauduleuses». Personnellement, j'ignorais qu'Interpol s'occupait des affaires de péculat.

Avoir su...

lundi 12 janvier 2015

Contre-intelligence


Des espions dans l'Arctique?

C'est probablement parce que, là-bas, il y a tant à voir et à faire.

Y en arrives-tu des affaires!