Je suis étonné de constater la teneur de certains médias à l'occasion de la visite de Charlot III au CAnada.
En effet, dans le contexte de tensions économiques avec les Stazunis, alors que la patrie de Mark Carney doit naviguer contre vents et marées afin de maintenir les profits de ce dernier, cette visite prend un caractère particulier.
Charlot profitera de sa venue afin d'affirmer la souveraineté du CAnada face à son puissant voisin. Personne, nulle part, jamais n'a soulevé qu'il était ironique – pour ne pas dire antinomique – de voir ce roi d'un autre pays défendre l'indépendance cAnadienne. Après tout, Charlot n'est-il pas le chef d'État de cette pauvre petite nation incapable, selon toute apparence, de se défendre elle-même?
Alors, dans de telles conditions, que reste-t-il de la notion d'indépendance tant vantée par un souverain britannique? Force est de constater que, au final, le Royaume-Uni est allé revendiquer sa colonie.
Symboliquement, il n'y a ici qu'une seule souveraineté: celle de la couronne britannique.
Toujours sapé de son éternel complet grossièrement taillé dans une sorte de poche de patates, le président des Stazunis, M. Donul Trompe, a exprimé une vive déception devant l'intransigeance de M. Vladimir Poutine à propos des négociations visant à mettre un terme à la guerre en Ukraine.
Il n'a pas hésité à douter de l'équilibre mental du président russe. Or, s'il y a un spécialiste dans ce domaine, c'est bien lui, car il n'est pas seulement sapé du dehors; il l'est aussi du dedans.