Voici que 2017 est presque terminée. Encore une fois, ceux qui ont réussi à survivre à l’année se prennent à espérer que la suivante sera meilleure. Il y a bien quelques endroits dans le monde où cela est peut-être conséquent. Mais à côté de tous ces lieux où les choses vont s’améliorant, combien d’autres voient-ils leur situation se détériorer de jour en jour?
Crises politiques en vue sur tous les continents, et même aux Stazunis avec l’enquête sur la collusion dirigée contre le clan Trompe. Possibilité d’une crise économique de l’envergure de celle de 2008; peut-être pas en 2018, mais son spectre point à l’horizon. Et tout cela sans compter les conflits régionaux qui menacent d’embraser telle ou telle partie du monde.
Imaginez seulement les conséquences de tout cela quand – c’est forcé – ça finira par arriver. Alors la foi en l’avenir, c’est bien joli, encore faudrait-il qu’elle repose sur l’esquisse d’une tendance vers l’amélioration. En l’état, rien ne permet d’y croire. Oui, je sais que ce n’est pas un langage à tenir à un tel moment de l’année.
Et je n’ai même pas mentionné vos prétendues élites qui ne se gênent pas pour vous bouffer tout ronds. Eh bien, faites comme elles. Pendant les festivités de fin d’année – ou de début de la prochaine, c’est tout comme – mangez des poires vous aussi. Ça console.
En attendant le retour d’ascenseur où vous boufferez du banquier avec son à-côté de politicien en sauce véreuse.
samedi 30 décembre 2017
jeudi 28 décembre 2017
mercredi 27 décembre 2017
Station Lamentations
La tradition veut que le mur des Lamentations, à Jérusalem, soit en fait ce qui reste du temple construit par Salomon, le fils du roi David, tel que rapporté par la légende biblique. Dans les faits, le fameux mur n’est qu’un ouvrage de soutènement érigé afin de consolider l’esplanade en surplomb et sur laquelle est aujourd’hui érigée la mosquée al-Aqsa. Mentionnons au passage que ledit mur ne remonterait pas du tout à l’époque du supposé Salomon (Xe siècle avant notre ère), mais bien plus tard, soit au cours de la seconde moitié du Ier siècle de notre ère.
Néanmoins, à cause de la prétendue proximité de cette structure avec l’ancien saint des saints du temple ancestral, là où on conservait la mythique arche d’alliance, le mur des Lamentations est devenu un lieu de pèlerinage pour les adeptes du judaïsme. L’endroit n’est pas des plus décoratifs. Il s’agit essentiellement d’un amoncellement rigoureusement vertical de grosses pierres taillées. En outre, le lieu n’est pas toujours très bien fréquenté, comme ont pu le démontrer les médias en mai dernier, lorsque fut prise la photo ci-dessus.
Cependant, démocratique comme pas un, l’État d’Israël a décidé de faciliter l’accès au monument – et pas seulement pour les soldats, policiers et autres agents de sécurité – en construisant à proximité une station de trains. Comme on sait, dernièrement, Donald Trompe, le président yankee, a décidé unilatéralement, et sans raison valable, de transférer l’ambassade des Stazunis de Tel-Aviv à Jérusalem, reconnaissant ainsi de facto l’affaiblissement de la Palestine par l’État hébreu. Bref, il a foutu encore plus la merde dans un conflit déjà chronique et intense. Afin de marquer sa reconnaissance, Israël, par la bouche de son ministre des Transports, a annoncé que la future station de trains serait nommée «Donald John Trump».
Au fond, c’est assez logique d’associer ce quidam aux lamentations.
lundi 25 décembre 2017
dimanche 24 décembre 2017
Bas tarlais dans les botterleaux
Les techniques d'interrogations discrètes des espions russes ont fait leur réputation depuis des décennies.
Dans ce cas-ci, le fils de Pierre Elliott Trudeau a déjoué leur sournoise manœuvre en préférant leur fournir des informations qui sont de notoriété publique.
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