L'incomparable premier ministre cAnadien a prévenu la communauté internationale – et, à travers elle, le gouvernement russe – que son
pays ne reconnaîtrait pas les résultats du référendum qui doit décider de
l’avenir de la Crimée.
D’une part, il s’avance dangereusement, advenant que
l’exercice entérine le statu quo, ce qui ferait mal paraître ce bon Stephen J.,
surtout devant ses patrons de la Maison-Blanche.
D’autre part, il ne faut pas oublier que le CAnada n’a pas
eu de grande difficulté à reconnaître l’indépendance du Kosovo, lequel avait
agi de manière totalement unilatérale à l’époque, sans s’encombrer d’un lourd
et fastidieux processus démocratique, référendaire ou autre.
À cet effet, la présente antinomie qui met en scène le gouvernement cAnadien constitue une leçon importante pour
le Québec.
Pensez-y, vous aussi…
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