mercredi 5 mars 2014

Hitler d’un mensonge



Ben dites donc, ils y ont mis le temps!

J’attendais une sortie du genre «les Russes, c’est des nazis» depuis vendredi passé; samedi, au plus tard. Vous savez, le genre de truc dans la lignée de Kim Jong-un, c’est un fou; Khadafi, c’était un malade; Bachar el-Assad, c’est un détraqué.

Ça, c’est pour ceux qui tiennent tête aux Stazunis. Alors, quand il y en a un qui non seulement ne se laisse pas faire, mais qui en plus contre-attaque, évidemment, ça ne peut être que Hitler.

Dites-vous bien que cette chère et sélective Mme Clinton n’en a rien à cirer de la démocratie en Europe de l’est et que, s’il le faut, ceux qu’elle couvre et appuie seront fort aise de se rendre à Kiev au pas de l’oie.

Ils y sont déjà, d’ailleurs.

Alors, traiter ses adversaires de nazis, c’est tenter de noyer le poisson avec l’eau du bain. Sauf qu’on dirait que ce poisson-ci a un scaphandre.

Y tolère, et non Hitler…

Aucun commentaire: