Ben dites donc, ils y ont mis le temps!
J’attendais une sortie du genre «les Russes, c’est des nazis»
depuis vendredi passé; samedi, au plus tard. Vous savez, le genre de truc dans
la lignée de Kim Jong-un, c’est un fou; Khadafi, c’était un malade; Bachar
el-Assad, c’est un détraqué.
Ça, c’est pour ceux qui tiennent tête aux Stazunis. Alors,
quand il y en a un qui non seulement ne se laisse pas faire, mais qui en plus
contre-attaque, évidemment, ça ne peut être que Hitler.
Dites-vous bien que cette chère et sélective Mme Clinton n’en a rien à cirer de la démocratie en Europe
de l’est et que, s’il le faut, ceux qu’elle couvre et appuie seront fort aise
de se rendre à Kiev au pas de l’oie.
Ils y sont déjà, d’ailleurs.
Alors, traiter ses adversaires de nazis, c’est tenter de
noyer le poisson avec l’eau du bain. Sauf qu’on dirait que ce poisson-ci a un
scaphandre.
Y tolère, et non Hitler…
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