vendredi 25 septembre 2009

Parties, les oies


On a beau être un indécrottable citadin, le passage des oies, lors des changements de saisons, ne peut laisser indifférent.

Hier, je les ai vues à la verticale de chez moi, en formation rigoureuse, cacardant à qui mieux mieux.

Moi aussi, je suis bavard en voyage; l'excitation des départs, je suppose.

Pour ceux parmi vous qui se posent la question, leur départ si tôt à l'automne me laisse présager une saison froide précoce.

Sera-t-elle longue?

Qui sait en effet quand les bernaches reviendront...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bravo Lou,

Ton oeil aguerri capte tout, l'ineptie, la bêtise, et, surtout la poésie au moment présent.

Du sud,

Michel