Enfin, quelqu’un a assez de couilles pour mettre ses culottes! Le premier ministre du CAnada*, le fils de Pierre Elliott Trudeau, a finalement craché le morceau: la liberté d’expression a des limites. Il était temps qu’une personne de ce pays ait assez de culot autour de la tête pour admettre ce que le Québec savait depuis longtemps.
Bon, d’accord. Mais cela laisse en suspens quelques questions intéressantes. D’abord, quelles sont ces limites, exactement? Et si je dis «exactement», c’est afin que la définition permette à tout le monde de s’y retrouver et, surtout, d’empêcher certains de bouger ces balises à leur gré; généralement, après coup.
Mais, avant tout, il faut établir qui va décider de ces limites et, surtout, comment on s’y prendra afin de limiter la liberté d’expression. Il n’y a pas à dire, en admettant cela, le fils de Pierre Elliott Trudeau a mis le doigt entre l’engrenage et l’écorce.
* D’aucuns me reprochent cette graphie que j’explique dans la biographie attenante (cliquer mon nom ci-contre). On trouve cela puéril et un peu déplacé. De mon côté, je m’en remets à la sagesse contemporaine. Ainsi, je vous donne donc le choix entre CAnada et Cacanada. Je vous laisse décider.
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