En juin 2010, j’avais relevé le fait qu’une fraction bien mince de l’aide internationale avait été acheminée en Haïti, laissant entendre – honte à moi! – qu’elle risquait fort de ne jamais arriver. Je ne suis pas allé aussi loin que de prétendre que certains se serviraient au passage, mais j’avoue que la tentation avait été forte.
Plus de dix-huit mois plus tard, je m’étais même permis un suivi sur la question, alors que les événements tendaient à me donner raison. Mais on ne peut accuser sans preuve.
Ce n’est pas non plus la politique de Granma International dont vous trouverez un article récent sur le même sujet ici.
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