« La loi 78 est un outrage aux libertés
fondamentales qui dépasse largement les limites admissibles au regard du droit
provincial, national ou international relatif aux droits humains », a
affirmé Javier Zúñiga, conseiller spécial pour Amnistie internationale.
« Il est déraisonnable et inacceptable de demander
aux citoyens de s’adresser à l’avance aux autorités chaque fois qu’ils
souhaitent exercer un droit fondamental. L’Assemblée nationale du Québec doit
abroger cette loi sans tarder. »
Le texte complet est ici.
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