Comme l’expliquait Yvon Deschamps, dans la vie, il y a deux choses qui comptent: c’est une «job steady» et un bon boss.
En cette période de foutoir généralisé que nous connaissons maintenant, il est devenu capital d’occuper un emploi permanent doté d’avantages sociaux importants. L’ironie de la chose, c’est que cette quête devient de plus en plus ardue à mesure que l’ultralibéralisme nous étrangle davantage chaque jour.
Fort heureusement, il demeure un domaine où les conditions de travail s’améliorent. Il en est ainsi du djihadisme qui semble avoir le vent dans les voiles, surtout depuis qu’on tente de le réprimer.
Ainsi, maintenant que le centre d’intérêt des fanatiques religieux s’est déplacé de la Syrie vers l’Azerbaïdjan, la solde s’est beaucoup améliorée pour les combattants de dieu, lesquels semblent se métamorphoser lentement en de vulgaires mercenaires.
C’est vrai que leur patron passe le plus clair de son temps à exiger du fric.
Un bon boss.
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