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On sait que, dernièrement, on a trouvé dans les médias nombre d’accusations à l’encontre du Venezuela. En effet, on a monté en épingle les manifestations d’opposants afin de laisser l’impression que le peuple n’en pouvait plus de cette insupportable dictature de gauche s’accrochant désespérément au pouvoir, en dépit de l’universelle désaffection dont elle faisait l’objet.
Et puis – patatras! –, chaque élection entre-temps, qu’elle soit locale ou régionale, maintient au pouvoir les représentants de la gauche. La droite n’a plus alors qu’à aller se rhabiller, tandis qu’elle-même et ses appuis étrangers, bien souvent médias en tête, crient à la manipulation électorale en dépit de ce qu’affirment les observateurs neutres.
Bref, il n’y a rien comme d’irréprochables élections pour alimenter les accusations de totalitarisme. Il est vrai que, en Amérique du Nord, les élections ne sont pas toujours irréprochables. Ces accusations sont peut-être un signe d’envie.
Quant au totalitarisme…
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