samedi 19 novembre 2016
Richard en rit moins
Nous avons appris pas plus tard qu'hier en quoi consistait la sentence de Richard Henry Bain, le tueur et incendiaire du Métropolis, en septembre 2012.
On se souviendra qu'un commentateur au cynisme grinçant était persuadé que la condamnation de M. Bain serait relativement légère, compte tenu que la défense avait invoqué les problèmes de santé mentale de l'accusé. Ce commentateur avait même laissé entendre que la sentence ne dépasserait pas les 10 ans de prison*.
Eh bien, il s'est gouré une fois de plus, car le juge Guy Cournoyer a décidé que M. Bain devrait purger 20 ans derrière les barreaux avant d'être admissible à une liberté conditionnelle. On peut penser, au rythme où vont les choses, que, dans 20 ans, le Parti libéral du Québec (PLiQ) sera toujours au pouvoir et que, conséquemment, la libération de M. Bain ne posera alors aucun danger pour la société.
* Notons tout de même que ledit commentateur n'écarte pas l'éventualité que M. Bain en appelle de la sentence, laquelle pourrait alors être allégée par une cour d'instance supérieure. Il s'en passe des choses en 20 ans…
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