Afin de se sortir de ce mauvais pas où il s'était fourré dieu sait pour quelle raison fumeuse, il a invoqué ses obligations familiales. Les enfants ont bon dos; bien souvent, plus que leurs parents…
Bref, ce type dont je parle et dont l'histoire retiendra le nom, peut-être, – mais pas moi – a fini son parcours «politique» en se faisant nommer sur le conseil d'administration de l'institut qu'il a créé. En d'autres termes, il s'est arrangé pour être aussi inutile à la cause souverainiste qu'à l'époque où il était chef du PQ.
Bravo pour cette belle constance mon… toi, là!
P.-S.: Aux dernières nouvelles, le quidam en question doit faire un don à l'IRAI. Mais il va sûrement attendre que l'institut obtienne d'abord son statut d'organisme de bienfaisance. Déduction fiscale oblige… Quand je vous disais que c'était un patriote convaincu!
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