Le jeune et dynamique fils de Pierre Elliott Trudeau n’en finit plus de rallier à sa cause les vieux croûtons de la vieille garde.
Avant-hier, il avait tiré de son grabat le coloré Jean Chrétien qui, depuis le fief torontois, avait apporté tout son appui sénile au candidat du Parti libéral du CAnada (PLiC).
Entendons-nous bien, je n’utilise pas le terme de «sénile» parce que M Chrétien a atteint l’âge vénérable de 87 ans. Pas du tout! Je l'utilise, parce que, toute sa vie, il a semblé agir comme quelqu’un de sénile. C’est déjà mieux que de le traiter de collabo, ce qu’il était en réalité.
Au vu de la situation, cela ne suffisait pas. C’est pourquoi ce cher ex-président yankee Barack Obama est venu, sous la forme d’un tweet, voler au secours de la jeune vedette toujours prompte à défendre les politiques néolibérales qui nous nuisent; Tweet for twit, quoi.
Personne n’imagine combien cette entourloupette de relations publiques a coûté au PLiC. Quand on sait à quel prix le beau Barack se fait rémunérer ses conférences pour ne rien dire, cela a dû représenter, toutes proportions gardées, une belle galette, même si, officiellement, on a voulu nous faire croire que «aucune dépense n’a été engagée».
Mais ça, on le savait, bien sûr. Il n’y a que les pauvres qui «marchent à l’argent», c’est bien connu.
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