Rendons hommage à Simon-Olivier Lorange, le journaliste de La Presse, qui a réussi à dégager huit moments forts du fastidieux débat des chefs en langue anglaise, qui s’est déroulé hier soir.
En effet, à travers la cacophonie, les interruptions et le rabâchage d’arguments éculés, il fallait une forte dose d’enthousiasme pour trouver un quelconque intérêt au pénible exercice.
Dans le meilleur des cas, accordons au reporter le bénéfice du doute et admettons qu’il y eut huit moments forts au cours de ce long pensum.
Ce que je puis affirmer, par contre, c’est que, moi, j’ai bel et bien vu six moments faibles…
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